Demande d’intégration au concile

Godevin entra dans la pièce. Du clan serianes qu’il avais quitter il y a peu il ne restait rien, oublié les ordres idiots et multiple quêtes inutiles, oublié le ridicule dans lequel certain était tomber suite a un certain vole de document. De tout ce temps passé en neophytat il ne restais rien, juste deux vieux amis datant d’avant la création du clan. Deux amis et deux moignons d’ailes, qui ornait jadis c’est épaule et qui depuis peu avais été remplacer par des bourgeon d’aile écarlate.
Jetant un regard alentour il ne cru voir personne. Saisissant, un bout de parchemin fraîchement dépecer d’un sanglier, un peu trop agressif, et sa plume de tofu qui ne lui avais que rarement servi, il écrivit c’est mots

Bonsoir membres du concile pourpre

Je viens à vous dans le but de vous rejoindre,
Apres de multiple discussions avec un de vos membres, j’affirme pouvoir servir brakmar et donc pouvoir servir le concile. De multiple pérégrination m’on emmener a voir pas mal de chose de nombreuse aventure m’on conduit en tout coin d’amakna, sans pour autant avoir un but. Je croyais avoir trouver ce but en intégrant les serianes mais je m’étais trompé. Apres 1ans passé a leur coté sans pour autant m’y être investi je me suis décidé a les quitter. Sûrement un manque de motivation, divergence d’opinion ou le fait de ne pas avoir le droit de les exposé m’on finalement conduit au bûcheronnage de mes ailes.
Je suis maintenant brakmarien et fier de mon choix.
Comme je l’ai dit à Sacavinasse, mes objectifs personnels ne sont ni d’éradiquer les anges et serianes pour assuré domination des brakmarien ni devenir homme craint de tous. Ce que j’ai voulu en devenant brakmarien c’est avoir une terre d’attache, des couleurs à défendre, un but. Lutter par des informations, de l’espionnage plus que par mon bras, (car pour le combat bien que je sache me défendre je ne pense pas en avoir la puissance) pour une cité qui est maintenant ma patri.

Salutations
Godevin

Signant le parchemin et le posant sur la table, godevin sortit de la pièce espérant que son message sera lu.

Sacavinasse attendait dans l'ambassade, invisible. Il attendait son ami Godevin. cet ami aurait dû être membre de sa guilde, seulement, logiquement, avec ses petites ailes de néophyte sériane, il n'y avait logiquement pas sa place. alors depuis tout ce temps, il avait essayé de le convaincre, de le retourner, mais rien n'y faisait, quand Godevin était engagé dans une idée, impossible de l'en faire dévié... et pourtant. Et pourtant, il le voyait bien que cela ne lui convenait pas. Cette année passé, lui l'un des premiers sérianes en tant que néophyte sans participer, sans monter en grade... il se demandait si, ici, si les choses n'allaient pas, godevin donnerait son opinion...

Il chassa ses pensées en entendant Godevin enter dans l'ambassade. Il le vit écrire un parchemin, et, au moment de partir, il le retint.
- Godevin ! ne t'en vas pas si vite. des conciliens ne tarderont pas à te poser des questions, et, je le pense, il serait bon que tu répondes de visu.

Il se redit visible et alla accueillir son ami, lui proposant de se prélasser avec lui dans l'un des canapés pourpre de l'ambassade.
- comme tu me l'avait dit, toi qui pourrait simplement rentrer comme bon te semble chez les blackmages et devenir concilien par là meme, tu as choisis la voie difficile.

tu vas donc être testé car il va te falloir nous prouver tes compétences et tes capacités à nous ramener de l'information. Ainsi, je compte sur toi, il faudra revenir ici, et, si la situation le veut, nous t'accorderont un lieu plus discret pour poser ton rapport. le sujet ? peu importe, ne reviens simplement pas vers nous avec des futilités. ce que nous cherchons à voir, ce n'est pas forcement l'information elle meme mais plutot tes capacités à en découvrir, à les analyser et à en faire un rapport afin que tous soient au courant. evidement c'est tout bonus si c'est un scoop.

Laissant la parolle aux autres membres du concile, Sacavinasse offrit un verre à Godevin.

Godevin avais bien sentit ne pas être seul, entendant la voix de son ami il se retourna. Il écouta les paroles de Sacavinasse et refusa le verre tendu.

Hum, Saca tu sais bien que si je boit sa, je le rejetterai de suite et je danserai sur les table en moins de deux, ce qui me mettrai en fâcheuse posture si des membres du concile arrivais.

Il se mit à l’aise en l’attente de conciliens, parlant avec Saca de choses et d’autres.

Maljour Godevin, Feca je crois... Tu dis etre Brakmarien, qu'est-ce qui t'a amené a Brakmar ? Je ne pense pas que ca soit pour la biere, elle a tres souvent un gout ignoble...

Le grand Iop attendait la réponse dans un coin de la pièce, une bouteille de rhum entre les mains, la fixant dans l'ombre de son Dantgoul

Canapé trop confortable ou peu être les longs discours de Saca, avais fini par avoir raison de Godevin, n’aillant pas dormi depuis trop longtemps il commença a sombrer dans le sommeil.
Une voix le sortit de sa torpeur. Il se tourna en direction de celle ci et sembla distingué un chapeau presque aussi grand que lui. Il aurait juré qu’il n’y avait rien à cet endroit quelque temps plus tôt. Il cru a une hallucination due a son manque de sommeil et commença a y replonger. Mais cette foi la voie s’adressa a lui. Il se réveilla complètement et après avoir écouté la question de l’homme au chapeau gigantesque, l’eni pris la parole.
N’aillant pas été présenté il ne s’avait a qui répondre.

Maljour,

En effet ce n’est pas la bière, comme tu as pu le comprendre tout ce qui dépasse le taux d’alcool du kokolait, ressort aussitôt… avec grâce et distinction bien sur !

Concernant mon allégeance a brakmar,
Je ne veut pas faire une généralité mais j’ai croiser beaucoup de monde durant mes nombreux voyages, dont beaucoup de Bontarien et j’ai remarqué que s’il ce démarquait bien des autres, c’était notamment par leur fourberie.

D’ailleurs il est dit partout que, beaucoup plus nombreux sont les bontarien, or dans le monde des douze je vois beaucoup d’ailes rouge, porté par fierté et honneur mais beaucoup moins d’ailes blanche. Sont-il à ce point fourbe pour les cacher, ou alors ils ne sont pas fiers de leur choix.
Donc si on peu résumé, beaucoup plus simplement pour moi les deux nations, les bontarien sont fourbe et les brakmarien fier. Je choisis la fierté et donc brakmar, et j’aborde ses ailes rouges et les portes avec honneur et guise d’allégeance a brakmar.

Il saisi sa baguette et la fit tourner dans ces doigt pour s’occupé l’esprit et ne pas s’abandonner au canapé.